Les 10 meilleurs amis de l’Open Innovation
L’acheteur innovant : Aussi bienveillant en interne qu’en externe, il facilite le passage obligé par la case « achats » en proposant un cadre simple, clair, et surtout adapté à la réalisation de POC. Il connaît et accepte les risques particuliers des start-up : un savant mélange de technologie, de finances, et surtout d’humain.
Ils le font déjà : Natixis
Le juriste start-up : Homme ou femme de compromis, il sait trouver le bon équilibre pour chaque étape de la collaboration grande entreprise/jeune pousse (de manière itérative). En partenariat avec les achats, les métiers, les SI… il rédige donc des contrats protecteurs sans freins pour l’innovation, plus courts (8 pages au lieu de 60), et surtout faciles à comprendre.
Ils le font déjà : Total
L’informaticien bienveillant : Toujours partant pour analyser la faisabilité technique d’une nouvelle idée, il accepte les tâtonnements (voire les revirements) de ses interlocuteurs. A l’affut et au courant des données (virtuels ou non stratégiques) pour les projets pilotes, ou encore des « check-list » permettant une autonomie des innovateurs pour leurs POC.
Ils le font déjà : Crédit Agricole
Ce sourceur de jeunes-pousses chasse sur les mêmes terres que l’équipe Open Innovation, mais avec action complémentaire. Son accélération financière entre ainsi en synergie avec le déploiement technique et commercial porté par les opérationnels. Son rôle de « dérisqueur » se conjugue parfaitement avec la qualification effectuée par les achats.
Ils le font déjà : Renaut, Safran
Le « corporate venture » friendly : En innovation plus qu’ailleurs, l’exemple doit venir d’en haut. Un leadership fort permet non seulement d’irriguer toute l’entreprise vers un changement de culture (en incarnant la démarche par des actes forts et la communication associée en interne comme en externe), et surtout de briser les inévitable barrières qui se dressent sur le chemin de la nouveauté. Nécessaire, mais pas suffisant bien sûr.
Ils le font déjà : Accor, Pernod-Ricard
Le sponsor de haut niveau : Cheville ouvrière de la pédagogie de l’innovation dans l’entreprise, il valorise les « success stories » au travers de publications et/ou d’évènements originaux, en interne comme en externe. L’évolution de la culture d’entreprise et son image à l’extérieur se nourrissent ainsi mutuellement, pour le plus grand plaisir des sourceurs de start-up… et du top management.
Ils le font déjà : EDF
Le communiquant visionnaire : Pour lui, travailler en mode start-up est tout simplement normal : mode projet, lean management, droit à l’échec… Il propose donc une gamme d’outils capables d’insuffler cette culture dans toute l’entreprise : recrutement via des challenges, intraprenariat, mentoring, hackathons (même le week-end !), « Reverse Mentoring » par de jeunes embauchés, etc.
Ils le font déjà : Orange
Le responsable RH « Génération Z » : Ces défricheurs ont tout pour devenir les champions de l’intraprenariat : compétences métier, acceptation du risque, envie d’innover… Reste tout de même à les identifier, à les soutenir (budget, participation des équipes, droit à l’erreur… ), et à les présenter aux bonnes start-up pour que la mayonnaise prenne.
Ils le font déjà : EDF
Les opérationnels audacieux : Véritable traducteur grand groupe / start-up, il assiste(et booste !) les équipes internes dans la mise en oeuvre des premiers projets pilotes. Au-delà des méthodes et de la culture, il transmet aussi sa passion de l’entreuprenariat afin de faire émerger les futurs intrapreneurs.
Ils le font déjà : Total
Le consultant innovation avisé : sorte d’architecte de l’Open Innovation pour plusieurs grands groupes, il fait bénéficier ses clients des meilleures pratiques et des plus récentes méthodologies. Son carnet d’adresse fait aussi des miracles !
L’équipe Yoomap : L’ami de dernière minute de notre Top 10 ! Car il faut bien animer ce réseau avec des outils dédiés, pratiques, et faciles d’usage.